Chambres d’inhalation

Les traitements de l'asthme se prennent habituellement par inhalation sous la forme d'aérosol doseur.

Pour être efficace, le traitement inhalé doit être pris correctement. Pourtant, seulement la moitié environ des asthmatiques savent manipuler leur inhalateur correctement (coordination main-respiration).

Lorsque cette coordination fait défaut, on utilise une chambre d'inhalation sur laquelle on fixe l'aérosol doseur. Elle sert à stocker le gaz à inhaler.

Achat : Oui
Prise en charge achat : Oui
Prise en charge LPP : 14.30 €
Prix public conseillé : 14.30 €

La prise en charge comprend la chambre d'inhalation et l'ensemble des accessoires nécessaires à son utilisation (valves, masque, embout...).

Le renouvellement de la prise en charge de la chambre d'inhalation, du lot de valves de rechange ou de l'embout et du masque ne peut être assuré qu'au-delà d'un délai minimal de six mois par rapport à la prise en charge précédente.

Le choix d'une chambre d'inhalation se fait selon certains critères :

- la compatibilité avec l'aérosol doseur ;

- l'encombrement de la chambre ;

- la visibilité : une chambre transparente permet de voir s'ouvrir et se fermer la valve respiratoire et donc de compter le nombre d'inhalations du patient.

Une chambre d'inhalation.

Suivre les instructions du fabricant.

Indications

La chambre d'inhalation est conseillée aux personnes atteintes d'affections respiratoires traitées par aérosol doseur.

Mettre une bouffée de spray dans la chambre d'inhalation.
Respirer normalement.
Après 10 respirations, refaire de même avec une seconde bouffée.

En cliquant sur +, vous préconiserez un dispositif sans préférence de marque.

La chambre d'inhalation permet une plus grande efficacité du traitement pour les patients équipés d'aérosols-doseurs qui ne savent pas coordonner leur respiration avec la délivrance d'aérosol.

La prise en charge comprend la chambre d'inhalation et l'ensemble des accessoires nécessaires à son utilisation (valve, masque, embout).

Le renouvellement de ces dispositifs ne peut-être assuré qu'au-delà d'un délai minimal de 6 mois par rapport à la prise en charge précédente.

Lorsque le produit est inscrit à la LPPR (liste des produits et prestations remboursables) et que le patient bénéficie d'une mutuelle ou est pris en charge à 100 %, on observe généralement un dépassement de 10 € à 30 €.

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